Un ingénieur digne de ce nom doit sortir d’une bonne école, certes. Mais ce qui fait la qualité d’une bonne école vient aussi de son ouverture, de la teneur des relations nouées avec d’autres organismes.
Exemple, l’Estia à Bidart. Un ingénieur généraliste issu de l’Estia est polyvalent. Et dispose d’une expertise poussée dans un domaine technique. Pendant sa dernière année, il choisit ainsi un parcours, avec l’université dans laquelle il obtiendra un second diplôme européen. Un genre de deux en un.
Jusque-là, ils étaient quatre partenaires co-diplômants historiques : l’Université de Cranfield, l’Université de Salford-Manchester, l’Université de Wolverhampton en Grande-Bretagne et l’école d’ingénieur de Bilbao, côté espagnol. Mais deux nouveaux partenariats « tras los montes » viennent de s’ajouter à la liste déjà prestigieuse des seconds diplômes européens. D’abord l’Ecole Polytechnique de Madrid (en full-time : Master en mécanique), ainsi que l’Université du Pays basque à Saint-Sébastien (en alternance, Saint-Sébastien/Bidart, pour un Master en Génie électrique-énergies renouvelables).
Un Master qui porte le nom de « Smart Grids ». Ce n’est pas tout, en même temps, l’Estia Recherche s’investit dans les programmes européens (type Retrace) et planche en permanence sur la consommation, l’énergie et le traitement des déchets. Ingénieurs, mais pas que…
Mais au fait, pourquoi une école, y compris d’ingénieurs, se dédierait-elle ainsi à la recherche ? Pour accompagner les entreprises du territoire, pardi ! Oui, décidément, c’est bien à cela qu’on reconnaît une très bonne école. Des études, mais pas seulement…
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire