Abonnez-vous
Publié le Mis à jour le
Créateurs et Passionnés

Christophe Larcebau

Il pilote une pépite de la mécanique industrielle à Idron
Christophe Larcebau

C'est de ces sagas familiales industrielles que nous aimons particulièrement. Au départ, la Sarl familiale Larcebau, créée en 1996, est une entreprise de sous-traitance en mécanique industrielle et générale qui oeuvre dans les domaines multiples de l'aéronautique civile et militaire, du médical, du ferroviaire ou du pétrole.

En 2010, c'est le "fiston", Christophe Larcebau, qui prend la direction. Mais il ne s'agit plus d'une petite entreprise ne connaissant pas la crise.

Ce qu’il faut savoir…

LARCEBAUAvec ses 40 collaborateurs sur le site d'Igon, Larcebau est devenue partenaire des plus grands, du groupe Airbus à Safran ou Dassault. En tout, 1.600 mètres carrés de bâtiments couverts sur un hectare au pied des Pyrénées. Juste pour asseoir le propos concernant sa réussite, rappeler que ses évolutions techniques, ses innovations, lui ont permis de multiplier le portefeuille client par 2 en trois ans seulement.

Le plus grand nombre n'y verra rien de singulier, mais les savoir-faire sont particuliers chez Larcebau. Ici, on sait tout des travaux par abrasion, du tronçonnage manuel ou robotisé, de l'ébavurage simple, complexe ou à la binoculaire, des ajustages mécaniques, des réalisations d'états de surface, du polissage de veines d'air, de la mise en forme visuelle et dimensionnelle par ragréage, tronçonnage ou abrasion, de la réalisation et du contrôle de rayons, de l'élimination de bavures et arêtes vives, du nettoyage et contrôle de conduits à l'endoscope, de la réalisation de la mise à la côte grâce à des mesures ultrasons et du scanner 3D...

LARCEBAU 2Et là où la crise freine les envies d'investissement, chez Larcebau, on ose, on investit, on innove. Une spirale de la réussite. Dont on espère qu'elle va continuer longtemps, longtemps.

Voilà typiquement donc le genre de saga familiale qui nous enchante, et nous rend fiers... Merci et bravo.

Commentaires


Réagissez à cet article

Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire

À lire aussi