Un phénomène plus qu’inquiétant. Qui est pris plus qu’au sérieux à l’ACBA, l’Agglomération Côte basque Adour. En fait, ils n’ont pas attendu ce constat alarmant pour prendre des décisions drastiques et cela fait deux ans qu’ils planchent sur le sujet.
La stratégie du trait de côte comme on l’appelle vise plutôt à prévenir qu’à guérir. Une stratégie qui s’applique aux 17 kilomètres de côte sableuse ou rocheuse de Bidart à Biarritz et Anglet. Et parfois, c’est le mode de gestion actuel qui sera simplement perpétué.
Réensablement des plages, optimisation de l’existant, entretien, végétalisation des dunes, surveillance de l’érosion, et toujours dans les esprits, en alerte, une possibilité de repli à l’horizon des dix ans. En fonction des priorités du moment. Le tout se fait bien entendu en collaboration avec le GIP, Groupement d’Intérêt Public, Littoral Aquitain.
Et espérer qu’il ne soit pas trop tard…
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