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Publié le Mis à jour le

Aéroprotec en « grandes dimensions »

L’entreprise paloise qui fait dans le traitement de surface pour l’aéronautique cumule les projets d’envergure avec Thierry Haure Mirande
AEROPROTEC 3
« Notre cœur de métier est en surface » qu’il dit, leur slogan. C’est plutôt bien trouvé pour une société qui fait dans le traitement de surface du secteur aéronautique. Aéroprotec accélère avec la création d’une holding, une nouvelle filiale au Québec, la construction de 9.000 m² à Pau-Sauvagnon. Envole-moiiiii…

C’est après la seconde guerre mondiale, en 1956 que se crée la société sous l’appellation Janini. Mais en 2005, Thierry Haure Mirande rachète Janini qui devient alors Aéroprotec.

Un an plus tard, avec l’ouverture de sa filiale Aérotech en Tunisie, Aéroprotec devient un groupe et s’envole.

2012 voit l’avènement de sa cellule Recherche & Développement. Tandis qu’en 2013, Aéroprotec agrandit sa surface de production de plus de 25% et pense à installer une chaîne « grandes dimensions » de 9.000 mètres carrés de surfaces couvertes pour 2018.

Et à l’horizon 2017, l’entreprise paloise n’en finit pas de grandir, avec ses cent salariés. Elle envisage, après la Tunisie, d’installer une autre filiale au Québec, histoire de se rapprocher des nords-américains, of course. Des embauches, des investissements, l’heure est à la construction de la fameuse chaîne « grandes dimensions ».

C’est sur un terrain de 2 hectares, près de la zone aéroportuaire de Pau-Sauvagnon que le projet va se créer, débutant par la construction de 2.500 mètres carrés de bâtiments. Et après le groupe, une holding ? On se dirige vers, avec la création du Groupe Haure-Mirande.

C’est là qu’on comprend que Thierry Haure-Mirande adore fredonner du Jean-Jacques Goldman : « Envole-moi, envole-moiiiiiii… »

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