Abonnez-vous
Publié le

A Pau, la table du Mercure joue la fraîcheur

Alors que l’hôtel a conquis sa 4e étoile, son restaurant La Basse Cour offre un univers aussi convivial que séduisant avec une cuisine valorisant les produits bios d’ici…
MERCURE PAU 7
Après une profonde transformation, le site de l’hôtel Mercure Pau Palais des Sports offre un cadre particulièrement sympathique pour un déjeuner, un dîner, un apéro… On raconte.

Des salons et un restaurant dans des espaces ouverts et accueillants, une terrasse avec son potager et son fraisier en bordure de piscine : tout est agencé pour passer un bon moment. « En développant ce nouveau concept, l’objectif était d’offrir un lieu convivial et de détente pour les Palois et les Béarnais » rappelle Rony Aratto, présidente du groupe Hotelina qui regroupe 8 établissements sur le bassin de l’Adour.

La Basse Cour - Mercure Pau« Animé par une équipe très jeune et dynamique, La Basse Cour propose une cuisine française contemporaine, avec 100% de produits locaux et bios » souligne le directeur, Carlos Galban. « Nous avons choisi de nous positionner autour d’une double approche culinaire : bien-être et gourmande ».

Le jeune chef Pierre Moliner a sélectionné des producteurs locaux pour assurer des produits de qualité et majoritairement bios. Par exemple, la ferme Prétou à Escoubès (magret, foie gras, porc fermier, charcuteries…), Bruno Teulet à Pau et la ferme Larqué à Assat (primeurs bio), ou encore la fromagerie Matocq à Asson. « Nous avons des contacts réguliers avec eux pour choisir les meilleurs produits en fonction de la saison ». La Basse Cour peut ainsi proposer chaque jour le produit top du chef.

Après un BTS à l’école hôtelière de Talence, Pierre Moliner a acquis une solide expérience dans des restaurants de luxe et des palaces en Suisse, avant de créer son propre restaurant à Vesdun dans le Cher. « Le challenge à relever avec le Mercure m’a séduit, avec un positionnement très intéressant. J’aime faire de la cuisine française tout en apportant des notes complémentaires avec des saveurs inspirées de différents pays ».

La Basse Cour se distingue par sa cuisine populaire avec des plats entre 16 et 17 euros (un seul dépasse 20 euros). Des prix compétitifs, une cuisine familiale, du goût et de la couleur… c’est la recette du chef.

Si le développement du restaurant est la priorité, on peut aussi profiter à toute heure des planches de charcuteries et de fromages, béarnaises et basques, ou encore des vérines de boudin noir, de pâté de campagne ou de rillettes de canard.

« Nous proposons aussi des cocktails en terrasse avec des touches très variées et, bien entendu, une belle carte de bières et de vins ». Concernant les séminaires, le Mercure adapte bien sûr ses propositions, toujours avec des produits d’ici, comme une délicieuse truite des Pyrénées.

Pour le responsable de la restauration, Pierre Truffeau, « tout repose sur une excellente communication avec la cuisine et les autres services afin de faire émerger des idées, et pour assurer une bonne coordination entre le restaurant, le bar, les séminaires, l’hôtel, les évènements spéciaux… »

« Nous privilégions un management collégial en impliquant toute l’équipe restauration (7 personnes). C’est essentiel pour accueillir dans les meilleures conditions des personnes individuelles, des petits groupes, des séminaires… avec une grande capacité d’adaptation. Chacun est informé du moindre changement et peut se mobiliser immédiatement » ajoute Pierre Truffeau qui se félicite du professionnalisme d’une équipe sachant aussi manier la souplesse et la décontraction.

L’accueil de l’hôtel, le restaurant La Basse Cour, la terrasse… offrent un cadre ouvert qui permet de se mêler aux autres pour des réunions informelles, mais aussi d’être comme chez soi. « C’est un concept qui favorise une ambiance et une atmosphère très innovantes. Plus qu’un espace de restauration, La Basse Cour veut être un véritable lieu de vie et de convivialité » conclut Carlos Galban.

Informations sur le site internet d’Hotelina

Photos : Hôtel Mercure - Eric Traversié

Commentaires


Réagissez à cet article

Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire

À lire aussi