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Concert à Vic-Fezensac

Calogero, compositeur bourré de talent, descendra dans l’arène
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En musique comme en politique ou en peinture, il y a des effets de mode. Tenez, il y a quelques années, on ne parlait que de « M » (Mathieu Chédid) ou de Christophe Maé. Il y a deux ans, que de Stromae.

Et depuis l’an dernier (oui, l’an dernier, car nous sommes en 2015, des fois qu’on ne vous l’ait pas assez seriné), il n’y en a que pour Calogero. Un compositeur bourré de talent, que les habitants et les vacanciers de Vic pourront applaudir dans leurs arènes le 6 juillet prochain.

Ce qu’il faut savoir…

calogero3Calogero, c’est le Monsieur Discret de la chanson française. Jamais présent dans les magazines pipoles, on sait que, comme le très regretté Joe Cocker, il fut plombier dans ses jeunes années, à Grenoble, qu’il s’est lancé sur scène en compagnie de son frère Gioacchino dans un combo dénommé « Les Charts » avant de connaître en solo le succès, avec son fameux « En apesanteur », repris en boucle par tous les apprentis chanteurs des Nouvelles Stars et autres télé crochets.

Le premier d’une série de succès, tels «  Si seulement je pouvais lui manquer », ou « Face à la mer », avec le rappeur Passi, qui font de lui le « Meilleur artiste masculin » des Victoires de la musique, édition 2004.

calogero4Mais depuis la rentrée de septembre, impossible de lui échapper, puisque, en boucle, passe sur les antennes son « Un jour au mauvais endroit », évoquant le double meurtre de deux jeunes de 21 ans, en 2012 à Echirolles, sa ville de naissance. Un succès majuscule, dû à sa plume et à Marie Bastide, sa compagne.

Preuve qu’il fait désormais partie des grands, Michel Drucker lui a consacré une émission entière, il y a quelques semaines et à Vic, on le découvrira dans une version épurée, seul en scène, accompagné simplement d’un piano et d’une guitare. Pour la basse, pas de problème, c’est lui-même qui s’accompagne.

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