Le thème de cette soirée, qui fait le plein, » donne le ton : « Le plaisir au travail : source de performance durable ? Nous y reviendrons.
Le CJD, réseau puissant, composé de 107 associations locales, s’est dès son origine positionné comme le « poil à gratter » du patronat, essayant d’explorer des voies nouvelles et parfois dérangeantes. En France, ce mouvement pèse quelque 4.500 chefs d’entreprises qui défendent l’idée d’un « libéralisme responsable ». C’est aussi une organisation efficace pour permettre aux jeunes dirigeants de se former et de progresser au contact des autres.
Chaque territoire a son CJD : le Béarn, avec à sa tête Thomas Ayphassorho ; le Pays Basque, avec Romain Ripert ; les Landes, avec Dominique Lechelle ; la Bigorre, avec Nicolas Blanchard.
Le CJD est né en 1938, il y a 80 ans, d’une conviction fondamentale : l’urgence de remettre l’Homme au centre de l’économie et de l’entreprise dans un monde industriel alors soumis à la froide rationalisation taylorienne du travail. En ce début de 3e millénaire, devant les dérives d’une économie financiarisée et court-termiste qui épuise à grande vitesse la nature et les hommes, le CJD élargit son intuition première à la nécessité de « mettre l’économie et l’entreprise au service de la Vie », c’est-à-dire d’intégrer l’ensemble des éléments du vivant comme autant d’éléments indissociables à notre survie et à un développement pérenne de l’humanité.
« Notre mouvement est un véritable carrefour d'échanges, d'idées et de rencontres. Il offre également une opportunité unique de se former au contact d’autres personnes de secteurs très différents les uns des autres » insiste Thomas Ayphassorho.
« Nous organisons de nombreux forums pour les dirigeants sur des thèmes d’avenir. Mais aussi, des temps fort pour la formation de nos collaborateurs ».
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