Savoir qu’elle a étudié en France et en Belgique, qu’elle cumule les prix les plus prestigieux, que Paris Match dit à son propos qu’elle est une « virtuose, à la sensibilité exceptionnelle, une artiste ardente, émouvante, et à la sonorité lumineuse, époustouflante, qui sait faire vibrer son violon autant que notre âme ».
Du monde entier, les mêmes compliments des plus grands.
Directrice artistique de l’OCA, l’Orchestre de Chambre d’Ariège, c’est dans le Gers, plus exactement au château de Maillac, que Marie a posé son archer, le temps d’enregistrer les Sonates de Brahms. En compagnie de Fumiyo Goshima, déjà repartie vers le Pays du Soleil Levant mais qui reviendra pour des concerts en France et au Japon.
Ou avec les luthiers Sylvain Turnaire et Christophe Destannes. Le 5 mars dernier, une cinquantaine de privilégiés ont même pu assister à un « intervalle musical » dans le Petit Salon de Musique en Gascogne », autour d’un feu de bois, une soirée que Marie, sur son mur Facebook, a décrite comme « romantique ».
Et le 7 mars, débutait l’enregistrement en compagnie de l’ingénieur du son, Jean-Yves Martineau, de l’accordeur du piano, Valéry Fraimann. On attend déjà avec impatience d’en écouter le résultat.
Pour sûr qu’ici, elle a accordé son violon ! Et pas qu’un peu…
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