Mais comme si ce n’était pas assez, dans les Landes, on a vraiment mis le paquet sur la création d’un pôle de compétences juridiques. Histoire d’aider encore plus, encore mieux, les chefs d’entreprises du secteur artisanal. Surtout pour les petites structures. Qui payaient leur « petitesse » par un manque de compétences et d’expertises face aux plus costauds.
C’était compter sans la volonté de la CMA qui a souhaité s’imposer comme un relais entre l’artisan ou l’entreprise et l’expert idoine. Ils interviennent aussi bien sur les relations humaines que les contrats de travail, les Prud’hommes, les statuts et régimes, l’assurance, la fiscalité, l’expertise judiciaire (ou amiable), bref tout ce qui peut constituer un « hic » dans la bonne marche de l’entreprise.
Depuis qu’elle a été mise en place, la structure juridique a déjà reçu la soumission d’une trentaine de cas. Le droit social occupe une bonne place, semble-t-il, dans les litiges à résoudre, suivi des relations client-fournisseur ainsi que des questions d’apprentissage.
Mais souvent, vouloir résoudre un litige, c’est déjà avoir fait la moitié du chemin. Ce que tend à prouver la CMA des Landes.
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