Eric Gaignet et Okina

Accompagnée par l’incubateur Pulseo, la jeune pousse s’attaque au « transport intelligent », et a été saluée par la ministre lors d’un salon à Paris...

Qu’on nous permette un énième petit coup de chapeau pour une entreprise dacquoise, qui fête ses six ans d’existence, bien installée dans la pépinière d’entreprises Pulseo, et spécialisée dans le numérique pour la mobilité. Son nom : Okina.

On raconte : jeune pousse landaise, Okina a développé des solutions métier, à destination des collectivités, afin de répondre aux attentes de la mobilité connectée et des projets de Smartcity. Lesdites solutions, construites autour d’une centrale de mobilité numérique, améliorent l’information voyageur, respectent les normes européennes, facilitent l’intégration de nouveaux services, ainsi que l’innovation.

Okina travaille en collaboration avec l’Agence Française de l’Information Multimodale et de la Billettique qui dépend du ministère en charge du Transport, avec l’équipe Rutenbanken en Norvège en charge du projet national d’information voyageurs, et Ile de France Mobilités, le syndicat mixte en charge de la mobilité pour la région Ile de France.

Une telle activité, et une telle réussite, font que la ministre en charge des Transports, Elisabeth Borne, a tenu à s’arrêter longuement sur le stand tenu par Okina au récent Salon Transports publics, qui s’est tenu il y a peu à Paris. Et comme ancienne présidente de la RATP, elle a posé bien sûr les bonnes questions sur les solutions proposées, l’avancée du projet et les enjeux autour des nouvelles technologies, en particulier sur la notion de mobilité. Des réponses qu’aurait pu lui apporter la Région Nouvelle-Aquitaine, puisqu’elle vient de choisir Okina pour mettre en place son référentiel de mobilité.

Et quand on sait qu’Okina s’intéresse également à la géolocalisation des voitures (via une tablette ou le smartphone du conducteur), à la gestion des cartes scolaires (avec Flash-Iti), c’est un boulevard qui s’ouvre devant la pépite dacquoise…