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Créateurs et Passionnés

Jonathan, Glwadys et biodiversité

Les jeunes maraîchers se sont installés à Bordes, en Bigorre, avec le plein d’enthousiasme. Le Ferme d’Adèle a ouvert un financement participatif
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Jonathan et Glwadys, qui ont tout appris de leur expérience en woofing à travers le monde, sont revenus sur le terrain de « mamie » Adèle pour lancer leur ferme de maraîchage et poules pondeuses biologiques, ça se soutient à fond, non ?

Sur Bluebees où ils ont lancé leur campagne de financement participatif, Jonathan et Glwadys parlent de la concrétisation d’un projet de vie. Et vrai que ça y ressemble.

D’un côté donc, Jonathan, 26 ans, de l’autre Glwadys, titulaire d’un BTSA Gestion et Protection de la Nature. Au milieu, la Ferme d’Adèle, 2,5 hectares dédiés au maraîchage et aux poules pondeuses biologiques.

Pourquoi Adèle ? Parce que c’est le nom de la grand-mère de Jonathan, qui a vécu dans cette ferme toute sa vie et a transmis à son petit-fils le goût du jardin.

A Bordes, dans les Hautes-Pyrénées, la Ferme d’Adèle est pensée comme une ferme à taille humaine, avec des principes de cultures qui agradent les sols et favorisent sa vie, l’autonomie et la résilience d’un écosystème à part entière, des produits (légumes, fruits, œufs) bons pour l’homme et la nature, à des prix raisonnables, un réservoir de biodiversité, et enfin – mais ce n’est pas négligeable – un couple de maraîchers ultra dynamiques.

Jonathan et Glwadys ont voyagé pendant un an, pratiquant le woofing en Nouvelle-Zélande ou Royaume-Uni, une vraie expérience qui leur a appris beaucoup. Mais depuis août 2017 et le lancement de la Ferme d’Adèle, tout s’accélère. Ils préparent leurs terrains, destinés à être opérationnels au printemps 2018, des serres, un poulailler, une clôture, et les sols avec une prairie au bâche organique, compost, engrais verts, etc.

Et c’est pour cela qu’ils ont besoin d’un coup de main. A l’heure de rédaction de ces lignes, ils ont déjà récupéré 4.384 euros sur les 5.000 nécessaires, et il reste quelques jours pour soutenir leur démarche. En plus, leurs contreparties sont super sympas et gourmandes.

Alors, n’hésitez plus : La Ferme d’Adèle, la bonne nouvelle pour la biodiversité est à soutenir absolument !

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