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CIRCULATIONPau, de chantiers en chantiers

De nombreux travaux sont en cours, notamment pour préparer la voie dédiée au futur bus-tram. Mieux vaut prendre ses précautions : tour d’horizon…
embouteillage
La circulation risque d’être bien difficile aux heures de pointe avec la multiplication des chantiers. Autour de la place d’Espagne et du boulevard Tourasse à la sortie de l’autoroute… ça risque de coincer.

Le plus gros des travaux concerne le trajet du futur bus à haut niveau de service (BHNS) qui doit relier la gare à l’hôpital de Pau. Depuis le début de l’été, la voie Nord-Sud entre l’échangeur de l’autoroute et le rond-point de l’Université est complètement chamboulé. Et l’on circule pour l’essentiel sur une voie au lieu de deux. Ce qui, même en période estivale, provoque quelques bouchons. D’autant plus que les carrefours ont été largement transformés, provoquant quelques hésitations qui n’arrangent rien.

Le boulevard de la Paix et le boulevard Hauterive (devant l’hôpital) sont eux aussi des points chauds pour la circulation.

Quant à la place Gramont, elle vient d'être réaménagée avec un terre-plein central qui ne laisse plus qu'une voie de circulation dans chaque sens. Il faut voir à l'usage si le trafic reste fluide, là et vers la place de Verdun.

Toujours au centre-ville, il vaut mieux éviter les alentours de la place d’Espagne (fermée), que ce soit la rue Samonzet qui coince souvent ou encore le cours Bosquet.

Attention, d’autres travaux sont en cours dans différentes rues et de nouveaux chantiers seront ouverts dans les prochaines semaines. Tous les détails sur le site de la Ville de Pau – cliquez ici

Un bus à hydrogène

Le Syndicat mixte des transports urbains de l'agglomération paloise a décidé d’opter pour un bus à traction électrique alimenté par une pile à hydrogène. Le véhicule articulé, fabriqué par l’entreprise belge Van Hool, aura une longueur totale de 18 mètres,

L'hydrogène sera produit localement, à partir d'électrolyse de l'eau. C’est ITM Power, qui construira l'unité de production et de distribution, tandis que Engie apportera son savoir-faire de fournisseur d’énergie, via sa filiale GNVert.

De son côté, Bayonne a opté pour un tram’bus 100% électrique, fabriqué par le groupe basque espagnol Irizar – voir notre article ici

 

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