Et comme le dit son président, Christian Marsan, dans l’édito de présentation avec style : « Rôdeur, et qui serait de mauvais genre (Jean-Michel Maulpoix) dans sa langue vivant l’épreuve de la chair et du feu, frère d’exil ou chercheur cher à Cendrars, dans les jardins de la crypte et, comme autant d’embarcations (Jean Tardieu), unis et indociles, pendant trois jours, les poètes à nouveau vont réveiller nos nuits. Pour les petits : des ateliers, de la musique et du théâtre. Pour les plus grands : de la musique encore, et aussi des paroles, mais toujours des rencontres et la joie qui se partage. »
Samedi, on ne plaisante plus, ateliers d’écriture, gravure sur TetraPak, rencontre avec les Editions de la Crypte, pique-nique poétique, lectures (Alcôves poétiques, Perceval dans le blanc des mots, Voix croisées), et de la musique avec le concert Chants d’Ailleurs par Hélène Paquay, que l’on retrouvera aussi pour l’apéro-concert à 19h15 en compagnie du groupe de chant de l’entre-deux-mers.
Et dimanche ? Pas l’ombre d’une patate, mais en revanche, dès potron-minet (on adore la placer, celle-là), le jury se retrouvera pour décerner le 29ème prix de la Crypte-Jean Lalaude, récompensant un poète francophone de moins de 30 ans qui n’a jamais été publié. Puis encore des ateliers, d’écriture, de papier marbré, de gravure sur TetraPak, avant le repas-buvette. Ensuite du théâtre, et aussi du théâtre d’objets, une conférence poétique par Florent Dumontier, et le Ravin aux Ritournelles par Axel Sourisseau (prix de la Crypte 2017) en lecture musicale.
Quel poétique, bucolique programme !
Pour plus de détails, c’est ici que ça se passe
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