C’est la documentariste Anne Georget qui a pris la suite de Didier Decoin à la présidence de ce festival qui attire plus de 25.000 spectateurs, et décerne pas moins de 22 prix, dans les catégories fiction, série, documentaire national et international, musique et spectacle, jeune création et Prix du public.
Avec un focus cette année sur la création israélienne, après avoir reçu l’Australie, le Brésil, l’Espagne et le Canada l’an passé. La délégation comporte une vingtaine de personnes et pour l’occasion on a projeté en ouverture un épisode de la série Fauda (chaos en arabe) qui fait un carton là-bas.
N’oublions pas les « gratuits », ouverts à tous, et pas seulement aux pros, avec entrée libre par conséquent ; ils vont vous permettre deux rencontres (ce samedi 27, au Casino). La première avec la comédienne et chanteuse Elsa Lunghini (T’en vas pas et Un roman d’amitié, avec Glenn Medeiros) qu’on peut voir dans la quatrième saison de la série policière de France 2, Chérif. Elle viendra ici évoquer sa carrière et son rôle dans la fiction de Parole contre parole, de Didier Bivel, présenté au Fipa.
Elle sera suivie de Marie Drucker qu’on ne présente plus, à la fois journaliste, documentaliste, productrice, venue en la circonstance dévoiler un documentaire sur les surdoués, Le courage de grandir et débattre de l’école et de l’enfance, avec Thierry Michel, sélectionné ici avec Les enfants du hasard.
Un bon cru que ce Fipa 2018 ? Tout semble le laisser croire.
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