Pour les 20 ans, originalité, ils reprennent la programmation de la toute première édition avec Nosferatu, Le Signe de Zorro, le Cuirassé Potemkine et Cadet d’au douce, ainsi qu’une quinzaine de courts-métrages.
Samedi à minuit, ce sera la nuit du court-métrage. Et comme toujours, il ne faudra pas oublier le cochon, numérique, pour soutenir ce festival hors-normes. Dont l’entrée reste ouverte et libre à tous.
Il y a les « nouveautés » avec notamment, ce vendredi, Anne, la gitane (piano Jean-François Zygel), un film norvégien de 1920. Ou l’Enfer, film italien de 1911, avec Tarik Chaouach au piano, François Puyalto à la basse électrique et Rafaël Koerner à la batterie. Ou, lAimez-vous les uns les autres, un long-métrage allemand de 1922.
Samedi, à 14 heures, on se jettera dans le Brasier ardent, un film français de 1923, accompagné au piano par Antonio Coppola. Tandis qu’à 17 heures, ce sera l’Invincible Spaventa, à mi-chemin entre la magie d’Harry Potter et l’ingéniosité d’Arsène Lupin, un film allemand de 1928.
Dimanche, on clôturera en beauté avec La Princesse Mandane (France, 1928) à 14 heures, et La Belle Nivernaise (1923, France) à 17 heures. Côté restauration, Remue-Méninges qui est partenaire du Festival depuis sa création vous proposera à manger et à boire, matin, midi, et soir… Sans oublier le Café du Village, dans la Grande rue, qui fera aussi son cinéma avec vous, côté papilles.
C’est pas parce qu’on est muets qu’on a rien à dire, apparemment…
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