Alors, pour vous rattraper fissa, direction le Festival Biarritz Amérique Latine, pour son édition 2018. Fidèles lecteurs, vous le savez déjà, c’est un de nos festivals chouchous, on n’allait pas passer au travers cette année. Jusqu'au 30 septembre, la ville basque est devenue uruguayenne, mais aussi latine, muy caliente.
Photographies d’Uruguay, concerts de Luciano Supervielle, de Cuerda de tambores, mais aussi des films, des films, des films. Les hispanoparlants sont à la fête. Aux rencontres de l’IHEAL, on se demandera si l’Uruguay est une terre de progressisme ? Côté films, impossible de tous les recenser, mais toute l’Amérique latine est là, dignement représentée.
Un hommage tout littéraire a été rendu à Juan Carlos Onetti (vendredi) et à Karla Suarez (Cuba), sans oublier les rencontres avec les réalisateurs, du théâtre, de la compétition courts et longs métrages.
Vous pouvez aussi, comme chaque année, apprendre à danser la salsa cubaine, le tango argentin, la cumbia colombienne, la capoeira brésilienne (entre art martial et danse), la bachata, assister à autant de concerts, bref si vous n’avez pas une mention spéciale à votre examen sur l’Uruguay, c’est à n’y plus rien comprendre.
Comme il faudrait autant d’éditions de PresseLib’ qu’il y a de pays d’Amérique Latine pour détailler le programme, le voici en intégral, cliquez ici
L’heure est venue de faire mentir Frédéric Dard qui disait : « L’Uruguay est un patelin inimportant, connu seulement des joueurs de Scrabble à cause de ses trois u. »
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