Un espace style cocoon, avec cheminée et thé ou café offert, et des expos de créateurs locaux. Mais cela ne couvre désormais qu’une activité du salon, qui avenue Jean-Roger Sourgen, vient de se lancer dans la tricopigmentation…
Un néologisme, issu du terme grec « tricho » signifiant cheveu, qu’on peut remplacer par dermopigmentation du cuir chevelu, une technique innovante et peu invasive, qui apporte une solution concrète à ceux et celles qui perdent leurs cheveux.
Une méthode esthétique brevetée, consistant à placer des pigments dans le derme du cuir chevelu. Elle permet d’obtenir soit un effet de chevelure rasée (chez l’homme) ou un effet de densité sur des cheveux plus longs, ceux de Madame.
Pour ce faire, on utilise des pigments bio-résorbables, qui vont créer une illusion d’optique pour traiter la calvitie et camoufler les cicatrices. La technique a été développée en Italie par Ennio Orsini et Toni Belfatto depuis une dizaine d’années. Ce qui fait qu’elle est maintenant rodée, en particulier en Belgique, où est installée l’académie des deux fondateurs.
Cette nouvelle activité, appelée à un bel avenir, est menée par Camille Paysan-Pradié, qui a rejoint dans l’entreprise son frère Lionel après voir fait un séjour à ladite académie.
Vous avez désormais, pour peu que votre front se dégarnisse quelque peu, une raison supplémentaire de fréquenter les salons d’Alain, presque autant connu qu’Igor d’Hossegor. Ça farte ?
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