En 2012, ils débutaient avec Retia, la filiale de Total, avant de bosser pour Safran, Thales ou GRTgaz. Et maintenant ils ont débloqué un budget de 600.000 euros au Mexique avec QuaNrg. En fait, si l’on pouvait y regarder de plus près, on se rendrait vite compte qu’une grande partie des drones qui survolent la planète en ce moment, dans le ciel du Kazakhstan, de l’Ecosse ou des Etats-Unis sont estampillés Xamen. Le drone 4-8X Dual Atex a déjà survolé les endroits les plus dangereux de la planète.
Tout un savoir-faire technologique français qui s’exporte allègrement. Et demain, les négociations sont en cours, tout le Golfe Persique ? On sait qu’en cette fin de mois d’avril, Xamen est à Abu Dhabi pour présenter ses drones Atex à la compagnie nationale Adnoc.
Ce n’est pas tout, les ouvertures sont multiples, et on ne sait plus trop où donner du drone chez Xamen. Leurs équipes techniques et de chercheurs dépassent en permanence les limites de la technologie.
Drone un jour, drone toujours ?
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