On ne va pas en faire des tonnes sur les difficultés rencontrées par le marché : les dégâts causés par l’influenza H5N8 hautement pathogène ont été considérables (une perte de 2,5 millions de volailles), bien que le virus ne soit pas transmissible à l’homme.
Mais tout cela, c’est du passé, et il convenait de le faire savoir de la plus belle des façons, par une méga campagne de pub, dans les souterrains du métropolitain parisien avec carrément 800 visuels sur les principales stations, du moins les plus fréquentées : Défense, Opéra, Chatelet, Etoile et Montparnasse (ainsi qu’à la gare Saint-Jean à Bordeaux). Autrement dit, les Franciliens ne pourront pas la rater !
Ce n’est bien sûr pas la première fois que la filière utilise la pub pour conquérir des parts de marché. On a même déniché sur le site de l’Ina une vieille vidéo en noir et blanc datant de 1972, dans laquelle ne manque aucun poncif : béret paysan, allure pedzouille, accent du sud et un slogan pas si mauvais que ça : « le poulet comme avant ». On ne résiste pas à l’envie de vous la faire partager. En se disant qu’en plus de quarante ans, la communication a bien évolué !
Au fait, comment reconnaître les Volailles fermières des Landes en magasin ? Deux éléments sur l’emballage vous vous aider : les deux signes officiels de qualité et d’origine, que sont le Label Rouge » et l’Indication Géographique Protégée (IPG) ; et la dénomination complète du produit, suivi du terme « Landes », par exemple Pintade Fermière des Landes.
Voilà une initiative qui devrait donner un coup de boost à notre produit authentiquement landais, ainsi que l’envie aux Parisiens, et bientôt aux autres, de revenir à des valeurs simples, et délicieuses : celles du Poulet fermier des Landes.
Découvrir la vidéo de l'INA - cliquez ici
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