Abonnez-vous
Publié le Mis à jour le

Jazz in Marciac

JIM bien placé sur les réseaux sociaux en plus de ses 260.000 spectateurs
jazz3

Un festival de musique peut bien sûr mesurer son succès à l’aune du nombre de ses spectateurs. Et de ce point de vue là, Jazz in Marciac est bien pourvu avec ses 260.000 visiteurs.

Il faut dire qu’il est aussi le seul lieu où l’on peut applaudir tout à la fois Dee Dee Bridgewater, Daniel Humair, Ahmad Jamal, Thomas Dutronc ou Jimmy Cliff, comme ce fut le cas l’an dernier. Une autre façon d’apprécier sa notoriété est de se pencher sur sa réputation sur les réseaux sociaux. Et là encore, Jazz in Marciac est particulièrement bien placée.

Ce qu’il faut savoir…

jazz1Témoin l’étude annuelle de Social Band, une société de communication digitale s’adressant aux professionnels de la musique, qui a comparé à la loupe fréquentation des festivals et présence sur les réseaux sociaux.

Sonnez hautbois, résonnez musette, notre festival gersois se classe en seconde position quant au nombre de spectateurs, derrière le mastodonte Festival interceltique de Lorient et ses 750.000 fans.

jazz2En revanche, on ne le retrouve pas en si bonne position sur le net, malgré une assez jolie présence sur Facebook (2.492 visites et 23.522 mentions « J’aime ») ou sur Twitter avec ses 8.344 followers.

En fait, si comparaison il doit y avoir, ce devrait être avec les autres festivals du même type, dans nos régions. Style « Jazz en mars » de Tarnos, « Jazz naturel » d’Orthez, ou « Des rives et des notes » d’Oloron-Sainte-Marie.

Des résultats remarquables si l’on considère aussi que tant Facebook que Twitter sont des joujoux privilégiés par les très jeunes et que le jazz est plutôt l’apanage des plus chenus.

marciac2Preuve que JIM entend se faire une jolie place sur le net, il vient d’ouvrir un compte sur Instagram, afin de partager au maximum photos et vidéos. Pour les moins âgés et les plus grands. Ou comme le disait feu Frank Ténot sur Europe1 il y a longtemps : « Pour ceux qui aiment le jazz »…

Commentaires


Réagissez à cet article

Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire

À lire aussi