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    Je dis ça, je dis rien

    L’avocat du diable (et des autres)
    laya-avanture
    Pourquoi enterre-t-on les avocats plus profond que les autres ?

    Au fond, on le sait bien, va. On aurait mieux fait de devenir avocat que journaliste, en plus, ça paye hachement mieux. Et puis les avocats, c’est bon. Surtout en guacamole. Le reste du temps, c’est surtout un mal nécessaire (oui messieurs, un « mâle » nécessaire, on sait).

    Mais comme toute chose utile à notre société, le mieux c’est quand même de s’en moquer, en sachant qu’un jour on en aura besoin et que ça va douiller. Dédramatisons, donc.

    Parce que dans le fond, ce sont des gens bien. Mais vraiment dans le fond, hein…

    Quelle différence entre une tique et un avocat ?

    A ta mort, la tique te lâche.

    Combien faut-il d’avocats pour changer une ampoule ?

    Trois. Un qui monte l’échelle, un qui la secoue et le troisième qui fait un procès au fabricant.

    Quel est le point commun entre un spermatozoïde et un avocat ?

    Un sur trois millions a une chance de devenir un être humain.

    Quelle est la différence entre un avocat honnête et le Père Noël ?

    Le Père Noël existe, petit !

    Comment savoir si un avocat ment ?

    Ses lèvres bougent.

    Le fils d’un avocat demande à son père : « Dis, papa, c’est vrai que les avocats répondent toujours par une question ? »

    « Qui t’a dit ça ? »

    Quelle est la seule chose que les avocats n’aient pas volée ?

    Leur réputation.

    Comment appelle-t-on un avocat avec un QI de 60 ?

    Monsieur le juge.

    Un homme demande à un avocat : « Quel est le montant de vos honoraires ? »

    « 10.000 euros pour trois questions », répond l’avocat.

    « N’est-ce pas un peu excessif ? », demande l’homme.

    L’avocat le dévisage et assène : « A discuter. Quelle est votre troisième question ? »

    Il y a deux sortes de justice : l’avocat qui connaît bien la loi, et l’avocat qui connaît bien le juge. (Coluche)

    Les avocats le savent, une plaidoirie doit être comme une robe de femme : assez longue pour couvrir le sujet, assez courte pour être suivie…

    Mais j’ai bien conscience qu’en abordant un sujet pareil, je me fais l’avocat du diable ! Souvenons-nous que l’accusé est cuit quand l’avocat n’est pas cru.

    Enfin bon, moi je dis ça, je dis rien, monsieur le juge.

    Gracianne Hastoy

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