Car, de toute évidence, après avoir passé une dizaine d’années à pratiquer un sport de haut niveau, il devient vite compliqué d’affronter les difficultés liées à la recherche d’un emploi. Surtout si l’on ne possède ni formation ni expérience.
C’est donc pour mieux anticiper cette reconversion professionnelle que Philippe Fournadet, président du TGB, et Daniel Pugès, président de la Chambre de métiers et de l’artisanat, ont récemment signé cette convention.
Un partenariat qui va faciliter d’une part le rapprochement entre la chambre consulaire et ce vivier de jeunes sportives, et qui d’autre part va permettre aux joueuses de se former à l’un des multiples métiers proposés. Que ce soit dans le cadre d’un contrat d’apprentissage, ou celui d’une reconversion au moment de raccrocher les baskets.
Cette initiative représente un atout non négligeable pour le TGB, car de plus en plus, au moment de signer avec un club, les basketteuses -tout comme les autres sportifs- souhaitent avoir la possibilité de suivre une formation professionnelle, en parallèle avec leur parcours athlétique.
Enfin, le fait que ces jeunes femmes puissent être en contact direct avec les entreprises locales dans le cadre de leur enseignement, permettra de faciliter leur installation personnelle et familiale dans le département.
Grâce à cette convention entre les deux partenaires, les basketteuses du TGB ont toutes les chances de ne pas rester sur le banc de touche, une fois sifflée la fin de match de leur parcours sportif.
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