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L’Osso joue Mozart pour ses 10 ans

L’Orchestre symphonique du Sud-Ouest va fêter dignement sa décennie avec une série de concerts exceptionnels…
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La formation, que tout le monde connaît sous le nom d’Osso, offre deux jolis cadeaux aux mélomanes : deux concerts de Mozart, ce week-end à Lescar et Lasseube. Prenez place, que le charme agisse !

Composé de musiciens de tous âges, élèves et anciens élèves des écoles de musique de Pau et des environs, et encadré de musiciens professionnels, l’Osso est dirigé par Bernard Salles, directeur musical et chef permanent de l’Orchestre de Pau et depuis 2001, professeur de direction d’orchestre et chœurs au Conservatoire supérieur du Pays basque, à Saint-Sébastien.

Le maître compte, en tant que compositeur, plus de vingt partitions pour orgue, musique de chambre et orchestre, ainsi que deux symphonies, une cantate et un concerto pour contrebasse. C’est lui qui a créé l’Osso, en 2007. Voilà pour la carte de visite. Pour l’actualité, voilà, voilà :

Ce samedi 28 avril, on est prié de se rendre dès 20h30 en la cathédrale de Lescar, pour assister à un programme de choix : les flûtistes Kristelle Jélovis et Sigrid Lasguignes, ainsi que le hautboïste Tom Camus interprèteront deux concerts de Mozart, accompagnés par l’orchestre de trente membres. Ils ont pour noms : le concerto pour flûte en sol (K 313), la symphonie n°21 en la (K 134), le concerto pour hautbois en do (K 314) et la Symphonie n°29 en la (K 201). L’entrée est fixée à 12 euros, gratuit pour les moins de 12 ans.

Le 29, donc le lendemain, rendez-vous à 18h, en l’église Sainte-Catherine de Lasseube, pour le même programme. On en connaît certains qui se rendront dans les deux lieus…

Et tant qu’à faire des annonces, notez que l’Osso se produira dans sa grande formation (soixante musiciens + 140 solistes, ceux d’Ananda d’Hossegor et d’Aeolia de Tarnos), les 6, 7 et 8 juillet à Saint-Jean-de-Luz, Bayonne et Capbreton pour le Requiem de Verdi, qui devrait constituer l’un des grands moments de la vie musicale de cet été sur la Côte.

Conclusion : osso bouco, osso beaucoup ! D’accord, on sort !

 

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