Juste une sorte de retard à l’allumage, selon le président de la Communauté de communes Maremne Adour Côte Sud, Pierre Froustey, la défection du groupe nordiste permettant de remettre sur le marché 10% de la surface totale du parc, qui pourront être ainsi réaffectés à l’industrie et à la logistique.
Si l’on jette un regard aux chiffres, ils sont d’ores et déjà impressionnants : sur les 144 hectares dédiés aux entreprises, 700 emplois ont été créés, 55 millions d’euros ont été investis, en provenance du privé, depuis sa création, 6,6 hectares sont vendus chaque année, soit 70.000 m² de bâtiments construits. L’ensemble accueillant 24 sociétés sur le parc et 24 en pépinière et hôtel d’entreprises.
Il faut dire que ses utilisateurs bénéficient d’un nœud de communications idoine, reliant les principaux pôles agglomérés landais et du sud-aquitain, en lien avec des infrastructures de niveau national, port, liaison TGV ou aéroport de Bayonne.
Va-t-on pour autant abandonner l’idée de l’implantation de commerces ? Pour la grande distribution, c’est acté, elle ira ailleurs. En revanche, rien n’interdit de penser qu’un certain nombre d’enseignes pourraient s’installer en façade de l’A63. Ce ne seront pas les industries du surf, repliées sur Anglet et Hossegor, mais des entreprises de services, comme les dernières arrivantes : Bio en Pays landais (83 employés), ou Zoomalia (accessoires et alimentation pour animaux via le net).
Informations sur le site d'Atlantisud
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