S’il est né à Toulouse et que sa famille a des racines bigourdanes, Patrice Carmouze reste fidèle au Béarn et à Pau, où sa mère, sa tante et des cousines sont installés. Il signe d’ailleurs des éditoriaux dans L’Eclair, depuis de longues années.
Son talent de journaliste et d’éditorialiste reste une référence en France, depuis ses débuts au Quotidien de Paris, dont il devint rédacteur en chef dans les années 1980.
La qualité de sa plume, légère mais directe et subtilement aiguisée, parfois impertinente est particulièrement appréciée, comme son regard sur la société et les évènements, pertinent et souvent original ; un regard, qui apporte toujours un plus à la réflexion. Il fait incontestablement partie des meilleurs éditorialistes français.
Son parcours dans la presse écrite, à la télévision et à la radio témoigne d’une étonnante faculté d’adaptation. Cette polyvalence, sa curiosité et son humour lui ont ouvert de nombreuses portes, d’autant plus qu’il n’a jamais hésité à se lancer des genres très variés et parfois totalement surprenants. Tout cela avec beaucoup d’humilité.
Patrice Carmouze a fait son entrée à TF1 comme chroniqueur dans l’émission à succès « Ciel mon Mardi » (1988) avec Christophe Dechavanne. Puis en deviendra le rédacteur en chef, avant de s’illustrer dans « Coucou c’est nous » (1990). Il rejoint ensuite Thierry Ardisson sur Paris Première (2001) comme rédacteur en chef puis producteur de l’émission « Rive droite / Rive gauche ». Il aura même une expérience de télé-réalité, à nouveau avec Christophe Dechavanne sur TF1, avec « La Ferme des célébrités ».
La liste de ses collaborations est longue, avec notamment : « Le Fou du roi » sur France Inter, « Desinations goûts » sur TV5 Monde, « Y’a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! » sur M6 avec Valérie Damidot.
Aujourd’hui, on peut le retrouver tous les jours (de 11h à 12h30) sur RTL. Il est rédacteur en chef de l’émission « A la bonne heure » de Stéphane Bern.
Des coups de cœur en mode Béarn…
« Je reviens très souvent à Pau pour profiter de ma famille, mais aussi parce que cette ville est chargée de souvenirs d’enfance. Depuis la Bigorre, on y venait comme on va « à la ville ». Je vais toujours chez Camdeborde. J’ai une vraie tendresse pour cette affaire qui propose d’excellents produits. Parfois, je croise Yves Camdeborde : c’est un nom qui compte en France. La dernière fois, il était en jogging et préparait un… marathon » sourit Patrice Carmouze.
Autre coup de cœur, le golf de Pau-Billère avec sa belle et longue histoire. « D’autant plus que je travaille sur une production TV avec la Fédération française de golf : Par78 (78 comme les Yvelines où se déroulera la Ryder Cup). L’objectif est de populariser le golf avant cet événement mondial »
« A propos de golf, je soutiens l’association Les Balles Blanches qui récolte des fonds pour améliorer les conditions de vie des enfants hospitalisés. J’aimerais bien organiser une compétition en faveur de cette cause au golf de Pau ».
Patrice Carmouze est aussi un amoureux des Pyrénées et de la Vallée d’Ossau. « Je retourne aussi dès que je peux à Gavarnie, ce sublime berceau familial ».
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Une initiative de l’Agence d’attractivité et de Développement Touristiques (AaDT), présidée par Jacques Pédehontaà, du Conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques, présidé par Jean-Jacques Lasserre, et de la Chambre de commerce et d'industrie Pau Béarn, présidée par Didier Laporte.
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