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    Je dis ça, je dis rien

    Quoi, ma gueule ?
    laya-enervee
    Les hommages déferlent pour saluer la mémoire de notre Johnny national. Le géant du rock and roll a même éclipsé le décès d’un monstre de la littérature, cette fois, nous citons bien sûr Jean d’Ormesson.

    Encore que… Johnny, à sa façon, c’était un poète, un dramaturge, un philosophe. Comment ça, l’émotion nous égare ? Ben allez, top des meilleures citations de Johnny, comme ça, parce qu’on l’aimera toujours, notre Johnny be good french touch.

    Clin d'oeil-hommage décalé...

    Je n’ai jamais cherché le pourquoi du comment…

    Et peut-être qu’il valait mieux ! Parfois, trop réfléchir, ça embrouille… Quoi, ma gueule ?

    Je ne suis jamais seul, à moins que je lis.

    Ah ben, nous, tout pareil. Hein, Jean d’Ormesson ? T’en dis quoi, de celle-là ? Tu comprends pourquoi tu fais pas le poids ?

    Si on n’avait pas perdu une heure et quart, on serait là depuis une heure et quart.

    Ce qui nous rappelle une autre distorsion temporelle qui fait le tour des réseaux sociaux au Mexique, signée de Peña Nieto, le président : « On atterrit dans trois minutes. Ah non, moins… Cinq minutes ! » Mais Johnny chantait mieux que Peña Nieto. France, 1 point ; Mexique, ziiiirôoo !

    J’ai des goûts très ecclésiastiques

    D’où la croix autour du cou, tout s’explique… Attention à cette phrase, ne pas la « placer » à n’importe quel escient. Non, Johnny, escient n’est pas une personne…

    Je vis avec moi-même tous les jours.

    Eh ben, déjà que vivre avec soi-même, c’est compliqué. Alors, tous les jours, je te dis pas…

    Pour faire un couple, il faut être deux.

    Ça, c’est osé ! Audacieux, gonflé, innovant, la classe internationale, Johnny !

    Pour les actes quotidiens, se réveiller ensemble, manger ensemble, c’est bien. C’est pas abstreignant.

    Faut juste pas que ça devienne trop concretgnant (gnan !)

    Au Zénith de Saint-Etienne, devant 6000 personnes : « Bonsoir… Clermont-Ferrand ! »

    Quoi, c’est pas loin, non ? Presque pareil, en deux mots, si on commence à s’arrêter à des détails géographiques, où va-t-on, tonton ?

    Interviewé par Claire Chazal avant la coupe du monde 2002, pour voir s’il connaît les joueurs de l’équipe de France de Foot : « Oui, je connais Zazie, évidemment, je l’adore… »

    Nous aussi, surtout quand elle va droit au but !

    Ce qui me rend heureux, c’est d’être heureux.

    On espère que cette maxime sera toujours la tienne dans l’éternité, Johnny. Tu vas nous manquer. Et pas que pour la blague.

    Enfin bon, moi je dis ça, je dis rien.

    Gracianne Hastoy

     

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