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7 nouveaux maîtres restaurateurs au Pays basque

Sabine Aguerre, Henri Chambon, Guillaume Roget, Frank Oteiza, Laurent Barrau, Franck Hourcastagnou et Beñat Bonnet à l’honneur…
MAITRES RESTAURATEURS 2
Il y avait du monde lundi dernier au restaurant Le Goxoki à Bayonne. Des chuchotis, des sourires et puis enfin l’annonce de la liste des nouveaux maîtres restaurateurs du Pays basque, au nombre de sept, répartis sur quatre villes de la Côte et deux villages de l’intérieur.

Le Pays basque compte donc 7 maîtres restaurateurs de plus, soit une quarantaine en Iparralde. De quoi se régaler.

C’est un joli label que viennent d’obtenir nos cuistos basques, garantissant que leur cuisine est faite maison, et aussi qu’elle est réalisée à partir de produits frais (exit le surgelé), et qu’elle utilise des légumes de saison.

Et comme pour le gros livre rouge de Bibendum, chacun a eu droit à la visite d’un « client mystère », anonyme, qui a également pris en compte le service, la déco, l’hygiène, l’ambiance, et même le fond sonore (encore que nous, manger sous les flonflons d’André Rieu ou de Frédéric François, on ait horreur de ça).

7 nouveaux élus donc, avec sur Saint-Jean-de-Luz L’Océan (Luz Grand Hôtel) mené par Henri Chambon (qui n’est pas de Bayonne) et Le Brouillarta, de Guillaume Roget. Sur Anglet, honneur à Frank Oteiza, du Café bleu ; sur Biarritz à Laurent Barrau, d’Amarys ; sur Bayonne à Franck Hourcastagnou, du Goxoki. Et pour l’intérieur des terres, au Fronton de Beñat Bonnet à Itxassou, et au Pottoka de Sabine Aguerre, à Espelette.

Pour certains, il s’agit d’une confirmation, tel le jeune Beñat Bonnet qui s’est vu honorer du titre en 2011 et qui loue le labeur de la Chambre de commerce, qui l’a escorté sur un grand nombre de dossiers concernant les normes des travaux et leurs réalisations.

L’implication de la CCI mérite d’ailleurs un coup de chapeau, qui met à la disposition des heureux élus un site Internet « spécial Pays basque », dédié à ses maîtres restaurateurs, ciblé en direction des clients.

Ceux-ci peuvent ainsi en un clic immédiatement identifier et localiser un restaurant via la carte interactive, et consulter sa fiche et même son site Internet.

De même existe une page Facebook, largement consultée. Quant au restaurateur, il dispose via la CCI d’un kit de communication complet, avec des modèles de communiqués de presse ou de textes à insérer dans la carte du restaurant.

Ainsi doté, nos nouveaux lauréats n’ont plus qu’à se concentrer sur ce qu’ils savent faire le mieux : la cuisine. Nous, on sort la carte de crédit de Presse Lib’ et on part les tester les uns après les autres. Merci, patron !

 

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