En tout, ils étaient plus d’un millier à s’asseoir sur les bancs de l’ENIT ces jours-ci, prêts à entamer une formation qualifiante de renom. On dénombrait quelque 170 bacheliers scientifiques parmi les premières années, et 80 étudiants déjà issus de classes préparatoires et de formation Bac+2 entrant directement en troisième année.
Et ils viennent du monde entier, comprendre principalement de Nouvelle Aquitaine et Occitanie côté local, mais l’ENIT reçoit aussi un bon peu d’étudiants étrangers qui ont choisi de se former avec la « french touch », une particularité où l’ENIT excelle.
La cerise sur le pompon, c’est que de plus en plus de filles intègrent ces filières à la réputation masculine. A peine quelques années en arrière, il eut été impensable ou presque d’entendre qu’une fille étudiait l’ingénierie mécanique et industrielle, pensez ! On imagine qu’elles seront donc un paquet à tenter le grand concours du 13 septembre pour Filles & Industrie à l’IUT de Tarbes.
C’est qu’une formation de qualité, en lien avec l’innovation et la recherche, une vraie synergie avec le monde industriel, de l’entrepreneuriat au cœur des enseignements, ou de la mobilité internationale, ça ne se trouve pas toujours réuni en un seul lieu d’enseignement. À l’ENIT, oui ! Et apparemment, ça commence sérieusement à se savoir…
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