A. Desjardins et V. Malgerard

Avec Alliance Pro Carrelage, basé à Domolandes sur Saint-Geours-de-Maremne, ils créent ou modernisent vos sols

Comme chaque mercredi, PresseLib’, en partenariat avec la technopole, vous présente une jeune pousse landaise. Aujourd’hui, nous vous donnons rendez-vous avec APC, spécialisée dans les travaux de pose de carrelage, de dallage et de chape fluide, en neuf et en rénovation.

Cela fait 4 ans que Alexandre Desjardins (35 ans) et Vincent Malgerard (34 ans) ont décidé de voler de leurs propres ailes. Forts d’un bagage solide acquis dans une grande entreprise landaise du bâtiment, ils ont décidé de créer Alliance Pro Carrelage.

Démarrée à 3, APC compte une dizaine de personnes et les fondateurs de cette jeune société ne comptent pas en rester là. « C’est une belle aventure, et on ne regrette pas de s’être jeté dans le grand bain de la création d’entreprise. Bien au contraire. Nous avons réussi à décrocher de nombreux contrats sur le sud des Landes et le Pays Basque. Mais nous faisons attention à progresser à notre rythme, sans nous mettre en danger » précise Alexandre Desjardins.

Avec son équipe jeune et soudée, Alliance Pro Carrelage s’est déjà forgé une belle réputation par sa compétence et sa rigueur, mais aussi par son dynamisme et sa réactivité. « Nous avons établi une bonne relation de confiance avec les clients, ce qui renforce notre image dans la profession. Notre volonté est de toujours répondre présent, que ce soit pour assurer les urgences comme les demandes très spécifiques » insiste le jeune chef d’entreprise.

APC intervient à toutes les étapes du projet : de l'établissement du devis à la gestion du chantier, pour la coordination des travaux et jusqu'aux finitions, réalisées avec le plus grand soin. Elle travaille avec des promoteurs immobiliers (immeubles et résidences) ou avec des particuliers (maisons, appartements) pour du neuf et de la rénovation.

Installée à Domolandes, depuis 3 ans, APC bénéficie d’un accompagnement précieux pour poursuivre son développement. « Cela se passe vraiment très bien. Malheureusement, nos horaires de travail ne nous permettent pas de profiter suffisamment du réseau d’entreprise basé dans la technopole » conclut ce chef d’entreprise à l’enthousiasme contagieux.