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A Biarritz, c’est l’heure de Bibi Beaurivage

Une vraie fête populaire avec notamment un repas dans la rue, un toro de fuego et une Tanborrada
BIBI
21 ans, cela s’appelle des Noces d’Opale. Une couleur qui va bien aux fêtes de Bibi, où l’on retrouve, jusqu’au 1er mai, les traditionnels beignets de morue, le gras-double, la tortilla, et tous les ingrédients habituels de la fête.

Commençons par le repas dans la rue. Le ziriko aura lieu non pas place Pradier, mais sous chapiteau (because les intempéries, sait-on jamais ?) sur le parking de la Côte des Basques le dimanche. En même temps, ou du moins la veille, la tradition du repas dans la rue sera respectée, avec au menu un cochon de lait, uniquement pour les habitants du quartier, 80 convives maximum. Avec repli assuré à Latsarria en cas de pluie.

Côté toro de fuego, on se souvient qu’il est apparu pour la première fois en 1890 à Bayonne, importé directement de nos voisins espagnols. Depuis, pour le plus grand bonheur des enfants, il a été remplacé par un toro de bois ou de papier mâché. Les fusses cornes portent le même système de boules inflammables et feu d’artifice. Cela aura lieu les samedi 29 et dimanche 30, en fin de journée.

Et puis voici, venues de tout le Pays basque français, les Tanborradas, qui à l’imitation de celles de Saint-Sébastien, parcourent les rues d’une marche « zortziko » du maestro Santesteban. On retrouvera pour l’occasion, pour la première fois à Bibi, 150 participants venus de Bayonne, Ciboure, Saint-Jean-de-Luz, Hasparren, Hendaye, Jurançon, et Saint-Jean le Vieux. Elles seront accompagnées par les musiciens de la DME (Damborradako Musikarien Elkartea), dirigés par Christian Aboucaya et Céline Duffoir. Rendez-vous, pour le premier passage, le 1er mai, place Pradier.

Voilà pour l’essentiel. Sachant qu’on pourra compter sur la présence du groupe Burrunka, d’une compète pour la meilleure omelette, la tortilla de patatas, d’un tournoi de mus, d’un Bibi Kantuz, a capella avec les musiciens d’Arroka, d’un trophée de surf, d’un vide-grenier et d’un marché fermier.

Tout ça à Bibi. De quoi rester baba !

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