Biarritz Olympique – Questions à Maxime Lucu

Le jeune demi-de-mêlée, qui a déjà joué plus de 100 matchs avec le BO, est devenu l’un des joueurs emblématiques du club. Rencontre avant le début de la saison officielle…

Dans le cadre de sa rubrique quotidienne, développée en collaboration avec le Biarritz Olympique, PresseLib’ vous embarque à la découverte de tout ce qui constitue l’univers de ce club emblématique du rugby français.

A 24 ans, Maxime Lucu, qui a débuté à l’école de rugby à Saint-Pée-sur-Nivelle avec son frère Ximun, est le digne successeur de Dimitri Yachvili à la charnière du BO. Il nous livre ses impressions à quelques jours de l’ouverture de la Pro D2.

Comment s’est passé le début de la préparation ?

Maxime Lucu – Nous avons mis les bouchées doubles, avec pour commencer un travail physique, pendant 7 semaines, beaucoup plus costaud que l’année dernière. Mon sentiment est que nous avons fait mieux et plus.

Et côté collectif, jeu ?

M. L. – Il y a 3 semaines, nous avons intégré le rugby dans les entraînements. Et nous avons assez vite trouvé des automatismes grâce à un noyau stable de joueurs et une très bonne implication des 18 nouveaux. Même si les systèmes évoluent avec le staff, nous sommes dans la continuité. Bien entendu, nous corrigerons au fur et à mesure, en tirant les enseignements de chaque match, comme après la victoire contre Montauban, vendredi dernier.

L’ambiance ?

M. L. – On vit super bien ensemble. C’est la marque de fabrique du groupe depuis 2 ans. On marche à l’affectif et on aime cette ambiance. A ce niveau là également, les nouveaux se sont intégrés très facilement. Après ce seront les résultats qui feront mûrir le groupe, dans les victoires comme dans les défaites.

Optimiste ?

M. L. – Oui. Parce que nous sortons de deux saisons de qualité, pendant lesquelles nous avons pris beaucoup de plaisir et vécu des moments très forts, entre nous et avec les supporteurs. L’enjeu principal est de terminer la saison régulière dans les 6 premiers pour disputer les phases finales. Après, tout peut arriver. Ceci dit, on a bien conscience que la Pro D2 sera de plus en plus dure, avec des recrutements importants dans tous les clubs, dont quelques joueurs de talent en provenance du Top 14. A nous de progresser encore pour nous installer solidement dans le haut du tableau. J’ai confiance.