Chacun peut donner son avis, exprimer ses attentes, ses craintes auprès de la
Commission nationale du débat public (CNDP). Parmi les grandes questions à se poser : Quelles conditions de coexistence avec les milieux naturels et comment mieux respecter leurs dynamiques propres ? Comment s’adapter au recul du trait de côte et au risque de submersion marine ? Faut-il changer de modèle de tourisme ? Avec quels impacts ? Quel avenir pour les pêches et la conchyliculture au regard de la situation environnementale ? Les parcs éoliens sont-ils une réponse appropriée aux besoins énergétiques ? Avec quels impacts positifs ou négatifs ?
La façade Sud-Atlantique s’étend sur un linéaire d’environ 700 kilomètres, depuis la Bidassoa et la frontière espagnole au sud, jusqu’à la réserve nationale de la baie de l’Aiguillon au nord.
Elle connaît une attractivité croissante et n’échappe pas aux phénomènes de concentration des populations et des activités, de densification de l’urbanisation et des aménagements, ce qui entraîne des concurrences, voire des conflits d’usages.
Le changement climatique accentue encore cet état de fait : exposition directe aux phénomènes d’érosion, submersion marine (tempête Xynthia en 2010), feux de forêt (30000 hectares de forêt brûlée en Gironde en 2022), etc.
Les réunions publiques
7 février, Saint-Paul-lès-Dax
9 février, Mimizan
21 février, lieu à déterminer : débat mobile au Pays basque/ sud des Landes.
23 février, Bayonne : atelier-débat et tables rondes sur l’avenir de l’océan et les pêches, la biodiversité, la qualité des milieux, l’énergie en mer.
24 février, Bayonne, 14h30-17h : croisière scientifique sur l’estuaire de l’Adour, animée par l’association Terre & Océan.
24 février, Biarritz, 20h30-22h30 : théâtre-débat sur l’avenir de l’océan avec la compagnie de théâtre N’Ouzon Ke.
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