Michèle Alliot-Marie réfléchit à Neuilly
L’ancienne ministre, première adjointe au maire de Saint-Jean-de-Luz, pourrait se présenter aux élections municipales à Neuilly, comme nous l’avons déjà annoncé. Elue député à 6 reprises dans les Pyrénées-Atlantiques, elle étudie une candidature éventuelle dans la ville où elle habite depuis 30 ans, partageant son temps entre la région parisienne et la Côte basque. Sa décision devrait être prise dans les prochaines semaines.
« Meurtre à Bayonne », tout un programme
Le tournage de ce TV film s’est déroulé au Pays Basque du 20 novembre au 14 décembre. Réalisé pour France 3, dans la collection « Meurtres à... », il est produit par Merlin productions, et réalisé par Eric Duret, avec Claire Borotra (nièce du maire de Biarritz) et Antoine Duléry dans les rôles principaux.
Dans la région de Saint Jean de Luz, une jeune femme est découverte suppliciée selon un mode d'exécution chrétien du Moyen Âge typique de la région. Marie Daguerre (Claire Borotra) inspectrice fraîchement promue au commissariat de Bayonne, est chargée de l’enquête : c’est sa première affaire de meurtre.
A Paris, Vincent Becker (Antoine Duléry), figure mythique du 36 quai des Orfèvres, reçoit un appel au secours de son fils Mathias dont il est sans nouvelles depuis plusieurs années. Le dernier coup de fil de Mathias ayant été passé depuis Saint Jean de Luz, Vincent se rend sur place à la recherche de son fils.
En plus de son enquête, Marie est chargée, par sa hiérarchie, d’assister Vincent Becker dans ses recherches. Très vite il s’avère évident que les deux affaires sont mêlées. Les deux enquêteurs, que tout oppose, vont devoir faire cause commune. A mesure que l’enquête avance d’autres victimes sont découvertes et il semble évident que Mathias Becker est impliqué.
Plus de 4,8 millions pour réparer les dégâts
Les crues des 18 et 19 juin ont provoqué des dégâts considérables. Les services déconcentrés de l’Etat se sont mobilisés avec les collectivités territoriales pour évaluer les dommages causés aux biens publics non assurables (routes, ponts…).
Pour les Pyrénées-atlantiques, la mission interministérielle d’inspection a retenu pour cet événement climatique une base éligible au fonds de calamité publique d’un montant de 7.087.099 euros. Elle a proposé un taux global d’aide de 37,%, soit une enveloppe de 2,7 millions d’euros. Ces crédits seront engagés avant le 31 décembre. Ils s’ajoutent aux 60.300 euros mobilisés sur le fonds Barnier.
En outre, le Conseil général des Pyrénées-atlantiques (937.303,32 euros), le Conseil régional d’Aquitaine (441 000 euros) et l’Agence de l’eau Adour-Garonne (1 056 350,00 euros) ont décidé d’intervenir conjointement afin de parvenir à un taux global de subvention publique d’environ 80%. Les collectivités concernées seront informées fin 2013 - début 2014 par courrier du montant de l’aide attribué.
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