Les records d’affluence ont été battus lors de la dernière édition qui a passé la barre des 1,3 million de personnes. Avec comme conséquence d’augmenter le nombre de situations à risques, mais aussi de trop s’éloigner de l’identité et de l’esprit souhaité.
Si les avis sont tranchés et parfois opposés, la nécessité d’évoluer sensiblement fait l’unanimité.
Plusieurs moments critiques sont connus. Il s’agit de temps fort qui attirent un trop grand nombre de personnes pour l’espace dédié. D’où des risques de bousculades et de mouvements de panique. Faut-il limiter les accès ? Faut-il élargir le périmètre des fêtes ? Faut-il changer de dates ? Sur ce dernier point, l’édition 2024 servira de test, puisque, en raison des JO, elle se déroulera plus tôt, du 10 au 14 juillet.
Certains proposent de supprimer les sonorisations extérieures qui, selon eux, favorisent des tensions et des excitations. Ou encore, de diffuser des musiques représentant mieux la culture basque et gasconne.
Autre proposition émise : donner plus de responsabilité au secteur associatif et à certains acteurs de la vie locale qui auraient plus de capacité à réguler les excès et à faire en sorte de rejeter (sans drame) ceux qui manquent de respect aux autres ou qui se livrent à des dégradations. Comme cela fonctionne assez efficacement à Pampelune.
Si vous avez des idées, n’hésitez pas à en faire part…
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