Pierre Desangles est un vrai gars du terroir, né à Orthez, maman institutrice à Lendresse, papa ingénieur sur le champ de Lacq, lycée Saint-Cricq, Université de Pau puis direction Paris, pendant 30 ans, où il fait ses premières armes au planning stratégique de Publicis Conseil en 1990.
Marketing, communication, digital, media, il enchaîne les expériences, Rapp, DDB, Carat, puis à l’aube de la cinquantaine, avec quatre proches, décide de créer sa propre boîte, innovante, avant-gardiste même. Ils l’appellent Supper. Sa spécialité : le design thinking, nom barbare et branché, un mouvement marketing qui vise à replacer l’humain au centre de l’innovation et de la stratégie des entreprises.
La société Supper se définit comme une société souple et indépendante. Un nouveau modèle hybride entre cabinet de conseil, lab d’innovation et agence de communication. Elle a 3 ans, sa mascotte s’appelle Lulu et elle affiche déjà un chiffre d’affaires de plus de 4 millions d’euros.
Mais pour Pierre Desangles, même s’il ponctue ses phrases d’anglicisme, les racines sont bien ancrées dans le Béarn. Son accent en témoigne (c’est comme un blason, un tatouage) mais son cœur aussi : 100% supporter Vert et blanc de la Section, amoureux des promenades en famille le long du boulevard des Pyrénées et… de sa femme (cf son tweet début 2019 en réponse à un animateur déclarant n’aimer que les femmes de moins de 50 ans).
Homo Territorius par ses tripes et PresseLib’ par ses valeurs, il a rejoint la communauté. Il est également membre du Cercle des Aficionados* aux côtés d’une quinzaine de personnalités fières de leurs racines d’ici.
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