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Addimadour, matériaux composites et robotique

A l’Estia de Bidart, une plateforme d’innovation et de transfert de technologie, dédiée à la fabrication additive métallique vient d’être inaugurée
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Si vous êtes passionné par les matériaux composites et la robotique, voilà qui devrait retenir votre attention : Addimadour est en effet une nouvelle plateforme d’innovation et de transfert de technologie, dédiée à la fabrication additive métallique. L’une des premières à proposer des solutions dans ce domaine aux industriels.

Pour l’Estia, il s’agit d’une aubaine, d’autant qu’elle est déjà le réceptacle de Compositadour, elle-même une plateforme technique spécialisée dans les procédés robotisés de mise en œuvre des matériaux composites. Elle forme des compagnons, techniciens et ingénieurs aux technologies des matériaux composites, favorise la création de nouvelles activités et met à disposition de équipements et des services dans lesdits matériaux composites.

Tel est le contexte. Et la semaine dernière, au Parc Technocité de Bayonne, Addimadour a été inaugurée, à l’invitation d’André Garreta, le président de la CCI Bayonne – Pays basque, et aussi président de l’EESC Estia, d’Alain Rousset, président du Conseil régional, et de Jean-René Etchegaray, qui préside aux destinées de la Communauté d’agglo Pays basque.

Les participants ont même eu droit à une conférence technique avec les Universités de Cranfield (GB), le Centre technologique Lortek (d’Ordizia, en Espagne), le Centre technique Irepa laser (Strasbourg) et les partenaires industriels des projets de fabrication additive de l’Estia, Addispace, Addimati et Transfon3d.

Et comme l’a justement fait remarquer André Garreta, « avec la technopole Izarbel, Olatu Leku et la Technocité, ces trois pépinières d’entreprises accueillent 74 start-up et ont permis la création de 214 entreprises et de plus de mille emplois. Nous sommes pionniers dans ce domaine », a-t-il conclu.

On ne s’étonnera donc pas que le projet Addimadour soit porté par un investissement de 2,4 millions d’euros. On connaît des financements plus mal employés !

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