La Section Paloise, une belle aventure humaine - A la tête de la maison Larquier qui produit le Pastis d’Amélie à Mazerolles, Peio Larquier a rejoint le Club des partenaires de la Section Paloise. Au sein de ce groupe d’hommes et de femmes, les valeurs passent avant le business, ce qui n’est pas pour lui déplaire.
Témoignage...
Avec ses gros grains de sucre et son parfum de vanille, le Pastis d’Amélie se reconnaît du premier coup. Le gâteau de la famille Larquier est devenu en quelques années un classique de la table béarnaise mais aussi landaise, et disons le, gasconne.
Sa notoriété le conduit même un peu plus loin. Michel Guérard l’a mis à la carte des Près d’Eugénie, tandis que qu’Alain Ducasse l’a hissé au deuxième étage de la tour Eiffel, dans le prestigieux restaurant le Jules Verne qu’il dirige. « Ces chefs le travaillent souvent en pain perdu » explique Peio Larquier qui a repris le flambeau, il y a 10 ans.
Amoureux du Béarn, bercé par un père sectionniste depuis toujours, Peio Larquier a rejoint le Club des partenaires, où des affinités n’ont pas tardé à se créer. L’artisan savoure l’ambiance au sein de ce groupe constitué de responsables socio-économiques aux profils très variés, mais qui ont en commun des valeurs fortes.
« J’apprécie la sincérité des relations, quelle que soit la taille de nos entreprises, il n’y a pas de jugement, chacun respecte l’autre et cela donne des moments très enrichissants d’un point de vue humain. Jean-Marc Souverbie d’Apex Conseil, Carole Carrère de Calicéo, Michel de ML Service, la carrosserie Bonnat et Christian Cancé font partie de ces belles rencontres vécues par Peio Larquier. « Le business n’est pas la première préoccupation qui nous réunit et cela se ressent très vite ».
Peio Larquier qui a joué à Arzacq, a suivi le parcours de quelques copains qui ont porté le maillot de la Section. « J’ai plusieurs finales en tête, à Saint-Gaudens contre Castres, à Charléty contre Brive et bien sûr les phases finales des trois dernières années ».
Pour lui, cette montée en Top 14 est une formidable occasion de hausser l’image du Béarn car déplore-t-il, « on ne sait pas encore très bien se vendre ».
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