Fondée au début du XXe siècle et disparue dans les années 1950, c'est lors d’une rencontre avec un chapelier local, que LBF a redécouvert plus de 40.000 écussons brodés de cette ancienne maison, qu’elle utilisera pour orner ses bérets et perpétuer le savoir-faire local. En lien avec la Chambre de commerce, le Musée basque, et les Archives départementales, LBF reconstitue ainsi l'histoire de cette fabrique disparue, contribuant à l’identité basque de la marque.
Après une croissance de 70% à 80% sur deux ans, grâce notamment aux partenariats avec la Coupe du monde de rugby et les Jeux olympiques de Paris 2024, LBF, qui emploie neuf personnes, voit son chiffre d'affaires dépasser le million d'euros. Ce succès n'a fait que nourrir l’ambition de Nathalie de Mauduit, la directrice, qui souhaite « allier patrimoine et modernité » en exploitant pleinement ce « trésor vintage ».
De plus, en élargissant sa gamme à la production de bonnets via le rachat de la marque Le Bonnet Français, LBF perpétue son engagement dans la tradition vestimentaire française tout en explorant de nouvelles avenues de développement pour accroître son impact dans le Pays basque et au-delà.
Informations sur le site internet du Béret Français
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