Le temps fort de cet événement sera le débat avec 3 personnalités particulièrement engagées. A commencer par le chef multi-étoilé, Thierry Marx, fondateur de « Cuisine Mode d’Emploi(s) qui va ouvrir en fin d’année l’une de ses écoles à Pau (lire notre dernier article – cliquez ici).
Il débattra avec le réalisateur Nicolas Vanier, qui parcourt le grand nord, en canoë, avec des rennes, des chevaux, en traîneaux à chiens… « l’ambassadeur de ceux qui croient en l’homme, en sa capacité à vivre durablement et de façon équilibrée avec cette belle planète dont il aime découvrir et partager les merveilles ».
Églantine Éméyé, animatrice TV et radio très appréciée, mènera le débat et témoignera de son parcours engagé notamment au service des familles ayant des enfants atteints d’autisme ; elle préside l’association « Un pas vers la vie ».
Cette soirée-débat exceptionnelle illustrera la force de ce réseau de jeunes patrons qui veulent faire bouger les lignes. « L’un des piliers du CJD réside dans l’engagement du dirigeant d’entreprise qui motive tant son action économique que sociétale. Cela, auprès de nos collaborateurs, et de l’ensemble des parties prenantes qui entourent le dirigeant d’entreprises. Ce principe se retrouve donc naturellement dans l’action de chaque membre du CJD, au point d’être un marqueur fort de l’ADN du mouvement. »
« Dans une société qui va devoir faire preuve de résilience pour transformer ses blessures et ses faiblesses, révélées par la crise actuelle, en opportunités, le CJD Béarn considère que le dirigeant d’entreprise aura un rôle primordial à jouer pour faire ce qu’il sait faire de mieux : s’engager par sa propre action, par des actions collectives, et en donnant du sens à son engagement. »
Le CJD Béarn, qui regroupe 80 dirigeants, est présidé par Denis Daléas, entouré notamment par Nicolas Behoçaray (vice-président), Fabien Bénède (président du comité d’organisation de la soirée) et Xavier Soubeyran.
Cette entité fait partie d’un réseau puissant, composé de 118 associations locales, qui s’est positionné, dès son origine, comme le « poil à gratter » du patronat, essayant d’explorer des voies nouvelles et parfois dérangeantes. En France, ce mouvement pèse quelque 5.700 chefs d’entreprises qui défendent l’idée d’un « libéralisme responsable ». C’est aussi une organisation efficace pour permettre aux jeunes dirigeants de se former et de progresser au contact des autres.
Le CJD est né en 1938, il y a 80 ans, d’une conviction fondamentale : l’urgence de remettre l’Homme au centre de l’économie et de l’entreprise dans un monde industriel alors soumis à la froide rationalisation taylorienne du travail. « En ouverture du 3e millénaire, devant les dérives d’une économie financiarisée et court-termiste qui épuise à grande vitesse la nature et les hommes, le CJD a élargi son intuition première à la nécessité de mettre l’économie et l’entreprise au service de la Vie, c’est-à-dire d’intégrer l’ensemble des éléments du vivant comme autant d’éléments indissociables à notre survie et à un développement pérenne de l’humanité ».
Ce mouvement s’est imposé comme un véritable carrefour d'échanges, d'idées et de rencontres. Il offre également une opportunité unique de se former au contact d’autres personnes de secteurs très différents les uns des autres. Il organise de nombreux forums pour les dirigeants sur des thèmes d’avenir. Mais aussi, des temps fort pour la formation des collaborateurs.
Informations et inscriptions pour la soirée du 18 mars sur le site internet du CJD Béarn
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