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La LGV en bonne voie, malgré des rejets ?

D’après le préfet d’Occitanie, Étienne Guyot, pilote du montage financier, il ne manquerait que 2,4% des fonds à rassembler par les collectivités territoriales.
Mise à part quelques-unes d’entre-elles comme le Grand Dax et l’Agglomération Pays Basque, la plupart ont voté leur participation au financement des lignes ferroviaires à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.

Même si certaines collectivités ont mis des conditions à leur implication sonnante et trébuchante, le préfet de la Région Occitanie fait part de son optimisme. Au total, 26 collectivités ont été sollicitées en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine, pour débloquer un total 5,6 milliards. Il ne reste plus qu’à trouver 235 millions, selon Étienne Guyot. Le reste du financement est assuré par l’Etat (40%) et l’Europe (20%).

Le feu vert pour la création de la société de financement doit être donné en début d’année, et le gouvernement doit trancher avant le mois d’avril. Même si tout se passe bien au niveau financement, l’ouverture de la ligne n’est pas prévue avant… 2030, voire 2032.

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