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    Concorde aux enchères

    Un petit bout du supersonique mythique chez vous ?
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    Si vous avez un peu de place dans votre salon, cette info s’adresse à vous : en février prochain (vous avez donc le temps de pousser les meubles), aura lieu une vente aux enchères des pièces de feu notre gloire nationale, le Concorde.

    Du gros, du petit, du solide, il y en aura pour tous les goûts pour ceux que la légende de l’oiseau blanc a toujours passionné.

    Ce qu’il faut savoir…

    CONCORDE 2En fait, il s’agit de la seconde du genre, puisque une première mise aux enchères avait eu lieu en 2007, à la Halle aux Grains de Toulouse, avec un bon millier de pièces offertes à la convoitise des fans nostalgiques.

    Pour l’occasion, Airbus avait légué ses pièces de rechange pour 1 euro symbolique à l’asso Aérothèque, en vue de financer Aeroscopia, le musée aéronautique de Blagnac.

    CONCORDEEt tout était parti, pièces du tableau de bord, hublots, machmètre, train d’atterrissage et même les sièges des toilettes, pour les plus fétichistes.

    Bien sûr, passion aidant, les prix avaient flambé, puisque l’estimation initiale de 100.000 euros avait été clairement sous-estimée, atteignant en ventes 850.000 euros. Mais quand on aime…

    concorde3concorde5Rebelote donc dans dix mois, avec 600 nouvelles pièces de l’avion mythique et comme nouveautés l’offre de pièces d’A300, d’A320 et d’A380 et d’un certain nombre de maquettes, qui donneront à votre buffet un cachet indéniable. Car des pièces, il en restait encre.

    Chez les collectionneurs particuliers tout d’abord, et surtout chez Airbus, qui à l’occasion d’un coup de balai dans l’un de ses hangars, a décidé de se débarrasser des dernières pièces en sa possession qui il est vrai, servaient de nid à poussière depuis la disparition de l’avion en 2003.

    concorde4concorde2Si vous trépignez déjà, une exposition aura lieu à l’Hôtel des ventes de Toulouse, afin de guider vos choix ; la vente proprement dite aura lieu au musée Aeroscopia, ponctuée des coups de marteau de maître Marc Labarbe, qui a l’habitude de l’exercice puisqu’il avait déjà officié il y a huit ans.

    N’empêche, avoir un petit bout de Concorde chez soi, c’est d’un chic !

     

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