En Bigorre, le problème est amplifié par la suspension de l’unité neurovasculaire de l’hôpital à compter du 1er juillet, faute de médecins. L’inquiétude concerne les personnes victimes d’un accident vasculo-cérébral (AVC) : comment garantir les soins nécessaires et vitaux dans les plus brefs délais ?Une solution doit être trouvée avec les centres hospitaliers de Pau et Toulouse, afin de superviser à distance la réalisation de thrombolyses sur place, pour gagner du temps. Ces injections doivent être réalisées au plus vite pour sauver les malades, mais aussi limiter les séquelles.
Les premiers symptômes peuvent être une déformation de la bouche, une faiblesse d’un côté du corps, bras ou jambe, et des troubles de la parole.
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