C’est ainsi que l’on y retrouve déjà des entités compétentes en ce domaine, comme Nobatek, l’école d’ingénieurs ISA BTP, les laboratoires de l’UPPA, le Lycée Cantau ou encore la Fédération compagnonnique des Métiers du Bâtiment.
En fait, on peut discerner ici trois éléments structurants : le générateur d’activités ou pépinière-incubateur de nouvelle génération qui accueille près de 25 entreprises ; la chaire de recherche industrielle portée par l’UPPA et Nobatek, dédiée à l’architecture et la physique urbaine. Une chaire accompagnée d’un laboratoire commun sur la construction durable, siouplait. Sans oublier le projet porté par l’ISA BTP, où sont créés sur 4.750 mètres carrés les nouveaux espaces de formation et de recherche.
Toute cette effervescence autour de la construction durable a notamment permis, ce mois d’octobre, de visiter une maison passive à Aureilhan dans les Landes, mise au point par le bureau d’études thermiques Carbone 64 installé à Arkinova. En partenariat avec le cluster aquitain Creahd. Passive signifiant que c’est une maison à très faible consommation en énergie et pratiquement autonome pour ses besoins en chauffage (grâce à des apports solaires et métaboliques) optimisés par de bonnes isolations, ventilations et étanchéité.
Déjà en septembre, Arkinova avait participé au projet Baitykool visant la construction d’un prototype d’habitat adapté aux climats très chauds à Dubaï (finale en octobre 2018). Un sacré défi puisqu’il s’agit de construire sur place un prototype d’habitat solaire de 90m2 en dis jours par les étudiants. D’ores et déjà, Baitykool se place comme le seul projet français sélectionné.
Cocoricocoak.
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