Le président Alain Rousset a insisté sur la nécessité de cet engagement pour éviter que les budgets prévus par l’Etat se reportent vers la Méditerranée, si le financement n’est pas bouclé en avril prochain. Il a également souligné que la rénovation du tracé actuel aurait des répercussions financières, écologiques et sociales nettement supérieures à la création d’une nouvelle ligne.
Il faut rappeler que le financement européen est conditionné à la réalisation des deux tracés vers Toulouse et vers Hendaye. Quant à la traversée du Pays Basque, elle est envisagée essentiellement via un tunnel.
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