Cette mesure imposée par l’Europe pour protéger les dauphins pris accidentellement dans des filets de bateaux, vient s’ajouter à la baisse des quotas de pêche. Les professionnels sont vent debout contre cette accumulation de contraintes qui vient plomber leur activité, déjà difficile. A cela, il faut rajouter l’augmentation des taxes et des charges.
Les pertes générées par cette interdiction d’exercer leur métier vont être lourdes et pourraient avoir des conséquences dramatiques pour les patrons pêcheurs basques et landais. D’autant plus que les mois de janvier et février sont cruciaux, notamment avec la pêche à la sole.
De plus, les pêcheurs ne sont pas convaincus par les arguments de ceux qui ont décidé cette interdiction pour protéger les dauphins. En effet, ils mettent en avant beaucoup d’autres menaces sur cette espèce que les prises accidentelles dans leurs filets, qui restent très limitées.
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