Dans le parc des arènes, encerclé de casetas, le festival Toros y Salsa attire des milliers de fans dans une ambiance toujours exceptionnelle.
Des cours de danse complèteront les concerts, avec quelques grandes figures, au premier rang desquelles un monstre sacré : Jose Alberto. Surnommé El Canario (le canari, qu’il imite en sifflant), il transmet une sacrée joie nourrie d’improvisations. Le septet cubain Santiaguero, le bigband La Marcha de Cristobal Diaz, les Groove Messengers de Carlos Sardu… complètent l’affiche.
Côté corridas, on pourrait aussi atteindre des sommets pour clôturer la temporada. Au programme :
Samedi 10 septembre (17h30) : toros de Domingo Hernandez pour El Juli, Emilio de Justo et Tomas Rufo.
Dimanche 11 septembre (17h30) : toros de Puerto de San Lorenzo pour Morante de la Puebla, Daniel Luque, Juan Ortega.
Au menu également, les vaches landaises : après la Nuit du toro (vendredi), ce sera la finale des cocardes (dimanche à 11 heures).
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