Cela fait un moment que ce sujet de la génération Y et des « milléniaux » fait l’objet d’analyses, de controverses et de débats. Les définitions divergent en partie, mais on parle grosso modo des personnes nées dans les années 80 et 90 dans les pays développés.
Et celles-ci auraient quelques grands traits communs, comme le fait de n’avoir pas connu de conflit majeur, d’avoir grandi avec l’essor de l’informatique, d’internet et des jeux vidéo, ou encore d’être davantage préoccupés par l’écologie que leurs parents baby-boomers.
Échanges et retours d’expérience…
D’après une étude publiée par Accenture il y a quelques années, 76% de la main d’œuvre mondiale sera composée d’ici 2025 de ces « millenials », réputés difficiles à recruter et à fidéliser (c’était en tout cas l’avis de 53% des cadres sondés dans cette étude).
Contrairement à leurs aînés, ils n’hésiteraient pas à changer régulièrement d’entreprise, loin du modèle de carrière antérieur. Leurs choix professionnels seraient davantage guidés par la quête de sens ou par des considérations d’ordre éthique. Produits d’un monde en mutation et de plus en plus complexe, ils seraient également plus rétifs aux organisations et aux modes de management pyramidaux.
Plus globalement, cet afterwork a été imaginé pour aider les 25 participants attendus à « comprendre et collaborer avec les nouvelles générations dans le cadre professionnel ». L’objectif est de profiter de ce nombre réduit de participants pour « faciliter les interactions » ainsi que le partage d’expériences et de réflexions. Les discussions se focaliseront notamment sur l’exploration des nouvelles pratiques de management associées à ce nouveau salariat, plus soucieux de bien-être au travail et d’équilibre entre vies professionnelle et personnelle.
Il reste encore des places pour les retardataires. Si vous êtes intéressés, vous pouvez vous inscrire jusqu’à ce mercredi via un formulaire en ligne. « C’est gratuit et tout le monde est le bienvenu », précise Domolandes. Y compris si l’on appartient à la génération Y !
Plus d’informations sur le site domolandes.fr
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire