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Chantal Manescau

Elle redonne une santé éclatante aux Thermes de Salies
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La belle endormie que furent durant des années les Thermes de Salies-de-Béarn n’a plus rien à voir avec la réalité d’aujourd’hui.

Nouvelle équipe, nouveaux moyens, nouvelle volonté et surtout nouvelles idées, ainsi se présente le cœur de Salies, qui devrait faire un malheur dans les temps qui viennent.

La preuve : en quatre ans, sa fréquentation est passée de 2.400 curistes à 4.000. Et ce n’est qu’un début…

Ce qu’il faut savoir…

THERMES DE SALIES 3Chantal Manescau, arrivée à la tête des Thermes de Salies en 2011, l’avait pourtant annoncé : elle allait faire de la station thermale un véritable univers du temps libre consacré à la santé, afin de reconquérir ses lettres de noblesse.

THERMES DE SALIESUn objectif qui semble en voie d’être atteint, puisque les curistes pourront disposer dès juin prochain d’une « grotte de sel », ainsi que d’un lagon de la Mer morte, deux espaces de soins et de détente.

THERMES DE SALIES 2Pourquoi cette référence biblique ? Touts simplement parce que l’eau de Salies est bien plus salée que celle située entre Israël, la Palestine et la Jordanie. De là à imaginer un petit voyage à travers le sel, il n’y avait qu’un pas à faire : une première étape dans une salle vouée à l’aromathérapie, avec de l’eau courant sur du bois, une seconde dédiée à la lithothérapie, autrement dit au soin par les cristaux de sel, qui émettent naturellement une résonance ou une vibration singulière, capable d’améliorer le bien-être du curiste.

THERMES DE SALIES*Fin du voyage avec la grande salle, avec ses transats relaxants, son sol en sel fin et ses murs en cristaux de sel solidifié.

Preuve qu’aux Thermes de Salies, on a le vent en poupe, elles se sont vu décerner il y a peu deux labels Aquacert, tandis que le nombre des utilisateurs du spa est passé de 2.500 à 8.000. Une reconnaissance amplement méritée pour l’un des joyaux de notre région, qui ne manque pas de sel.

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