Une levée de fonds de 500.000 euros est en cours sur la plateforme WiSEED. De quoi développer un programme très ambitieux avec des éditions avec navigation intégrée (mars 2022), puis avec des fonctions digitales V2 (2023), avec une batterie V2 et une boite automatique (2024), et un moteur V2 à flux axial (2025).
Toutes les informations concernant la levée de fonds sur la plateforme WiSEED
En 2012, Audrey Lefort et Thibault Halm se sont lancés dans l’aventure pour concevoir un vélo électrique avec des technologies de pointe, mais aussi un design vintage et une esthétique novatrice.
Créée à La Rochelle, la startup s’est rapidement installée au Pays Basque pour assurer sa percée, d’abord à la Technocité à Bayonne, puis à Biarritz rue Chapelet. Pierre Bigard, spécialiste des vélos de compétition et ancien ingénieur chez Look Cycle, a alors rejoint les deux fondateurs pour apporter de nouvelles compétences.
Le choix du made in France…
Contrairement à ses concurrents qui font largement venir leurs composants d’Asie (à plus de 90%), Coleen fabrique ses modèles et les assemble très majoritairement en France. Et l’essentiel des pièces leur appartiennent. Les cadres et fourches sont conçus dans l’atelier biarrot de l’entreprise, les poignées sont produites à Bidart, la sellerie à Toulouse, l’électronique et la batterie lithium sont fabriqués près de Bordeaux.
Actuellement, Coleen produit deux modèles : le traditionnel VAE, limité à 25 km/h avec une autonomie de 100 km ; et le speed bike, qui peut atteindre 45 km/h et vise à se substituer à la voiture ou au scooter. 80% des ventes se font à l’export en Europe, principalement vers l’Allemagne, la Belgique, le Suisse, le Luxembourg...
Ces « petites reines » se veulent unisexes, intemporels et minimalistes, mais sont au top de la technologie, de la performance et du design. Des modèles haut de gamme vendus entre 8.000 et 10.000 euros.
Plus d’informations sur le site internet de Coleen à Biarritz
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