C’était la semaine dernière, à l’Ecole nationale de l’Aviation civile de Toulouse, plus connue sous son acronyme, l’ENAC. Et si leur dada, façon de parler, était plutôt jusque-là la formation de pilotes d’avions, ils vont désormais s’intéresser de près aux drones.
Car c’est donc une « volière » qui va s’installer ici, au montant de travaux estimé à 1,5 millions d’euros, une première française, cocorico. Et l’une des plus grandes volières d’Europe, tadam.
L’Etat sera le financeur, dans le cadre du contrat de plan Etat-Région. Probablement opérationnelle à la rentrée 2017, la volière sera accessible à l’ensemble des scientifiques de la filière, mais aussi à tous ceux qui désirent mener des études ou des expériences dans le secteur en pointe des drones.
Drone un jour, drone toujours… Ça roule ? Non, ça vole…
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